La Valention… Une fête un peu symbolique car il s’agit de la première que nous ayons faite ensemble avec Kyuu! Enfin… Quand je dis ensemble, c’est en tant que couple bien sûr!
Cette fois-ci encore, nous nous sommes promenés à travers Gridania jusqu’à l’Amphithéâtre de Mih Kheto, habillés un peu plus chaudement que l’an passé vu le froid qu’il fait actuellement. Mon tendre époux, ayant retrouvé la vue, a pu constaté à son grand désarroi la niaiserie de la décoration pour cette fête des amoureux. Des coeurs partout et à foison, en banderoles, flambeaux ou ballons… Autant dire que j’ai bien rigolé en voyant sa réaction!
Nous avons parlé à Lisette de Valention, l’elezenne organisatrice que nous avions déjà rencontré l’an passé. Cette fois-ci, elle a laissé le soin à sa jeune cousine Astrid de s’occuper de l’évènement. Mais de ce que nous avons compris, cette dernière semble avoir quelques soucis avec les mogs ouvriers pour la mise en place de son attraction au Sanctuaire des Douze avec qui ils sont en partenariat cette année. Ces petites peluches volantes ne semblent pas apprécier son approche trop scientifique de l’Amour, parlant de « compatibilité amoureuse » comme si il s’agissait de mathématiques… et je les comprends.
Avec l’approbation du chef de choeur du Sanctuaire, et ce bien malgré nous, nous avons du les menacer de les passer à la tondeuse pour qu’ils daignent se remettre au travail… L’idée de se voir raser le pompon ne semble visiblement pas leur plaire…
Une fois la préparation terminée, nous avons été convié à participer et à donner notre avis sur cette attraction. Pour se faire, nous sommes donc monté au Sanctuaire des Douze. Tant de doux souvenirs se sont rappelés à ma mémoire… J’aurai presque eu envie de reprendre Kyuu une nouvelle fois pour époux, juste pour profiter de ce lieu si splendide avec lui! En ce qui concerne la Valention, un magnifique labyrinthe tout de haies taillées avait été mis en place dans les jardins de cette architecture amdaporienne. Avec la petite étendue d’eau et les grands arbres qui la bordent, cela donne un charme fou à ce cadre idyllique. Nous avons donc traversé ce dédale reliés par un lien éthéré qu’il ne fallait surtout pas rompre. Il va de soit que nous avons bien fait attention et avons relevé le défi haut la main!